L'Ensemble enchaine avec le Concert d'Hiver organisé à l'école communale de Houdeng-Aimeries par l'administration communale de La Louvière, le 15 février 1980, et un programme sensiblement différent : l'orchestre interprète l'Aria pour cordes extrait de la suite en ré de Jean-Sébastien Bach, l'Adagio pour cordes K. V. 546 de Mozart, et l'Andante cantabile extrait d'un quatuor à cordes de Tchaïkovsky. Chœur et orchestre s'unissent ensuite pour deux suites extraites, l'une de l'Orfeo de Monteverdi, l'autre de Didon et Enée de Purcell. Les chœurs seuls terminent sur l'Ave Verum de Mozart et le Requiem aeternam de Verdi.
Le concert du 2 mars pour l'Amicale des Pensionnés socialistes à la Maison du Peuple de Jolimont reprend intégralement ce programme, auquel vient s'ajouter la prestation de Véronique Bogaerts, laquelle interprète l'Adagio et la Fugue de la sonate en do majeur de Jean-Sébastien Bach, les Caprices n° 5 en la mineur, n° 15 en mi mineur et n° 24 en la mineur de Paganini, en "prélude" au concours Reine Elisabeth.
Les choeurs participent le vendredi 7 mars à l'audition du Conservatoire de Musique de La Louvière, au TCL.
L'église de Bois d'Haine accueille l'Ensemble au grand complet sous l'égide du Centre manageois de la Culture et des Sports le 19 avril. Le programme reprend les suites Orfeo de Monteverdi et Didon et Enée de Purcell, l'Andante cantabile de Tchaïkovski, l'Adagio pour cordes K.V. 546 et l'Ave Verum corpus K.V. 618 de Mozart, le Requiem aeternam de Verdi, Esquisses et bagatelles de Bartok, Italienne et Sicilienne de Respighi, la Sinfonia en mi mineur pour cordes et hautbois de Haendel et le Kyrie de la messe en sol mineur de Jean-Sébastien Bach.
C'est de nouveau une église, Saint-Joseph, à La Louvière, qui accueille le concert suivant, le 11 mai : Didon et Enée, de Henry Purcell et la Messe en sol mineur de Jean-Sébastien Bach, avec en solistes les mezzos Mady Urbain et Jacqueline Lamy, le ténor William Pirié,
L'administration communale et le syndicat d'initiative de Braine-le-Comte organisent le 23 mai, en la salle des Fêtes de la ville, un concert dont les têtes d'affiche sont
La suite des opérations ?
Les Fêtes de Wallonie, le 20 septembre : avec l'harmonie de Maurage, l'Ensemble présente les Danses polovtsiennes, extraites du Prince Igor, de Borodine.
Le concert en l'église décanale du Roeulx le 4 octobre, avec
Une cerise sur le gâteau de cette année 1980 : le Requiem de François-Joseph Fétis, en
L'année – au demeurant excellente – se clôture par les Rencontres provinciales d'art choral, le 14 décembre en l'église Saint-Antoine de Bouvy.
L'Ensemble concourt en catégorie Excellence, avec la suite "Dido and Aeneas" de Purcell, le chœur "His yoke is easy", extrait du Messie de Haendel, le Requiem aeternam de Verdi, le Kyrie de la messe en sol mineur de Bach et les Quatrains valaisans de Milhaud (Pays, arrêté à mi-chemin, L'année tourne et Beau papillon). La satisfaction du jury se manifeste par une invitation à participer au Festival d'Honneur organisé durant le 4ème trimestre de 1981, invitation qui constitue l'admission de l'Ensemble "au niveau supérieur de la hiérarchie des valeurs musicales en Hainaut", et l'autorise à porter, pendant 3 années consécutives, le titre de Société d'Honneur des Rencontres provinciales d'Art musical.
Quelle consécration pour l'Ensemble, ses 65 choristes, ses 18 musiciens, son accompagnatrice Andrée Brismet, son président, Oscar Roland, et son chef, Emile Bogaerts !
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